Femme, tu étais si belle. Tu étais si jolie

Tu étais si polie, si jeune et pleine de vie

Tu étais si magnifique. Tu étais si gentille

Tu étais si tendre et éloignée des chenilles.

Oh ! Femme, je me souviens de ton sourire

Si radieux, si phénoménal et si extraordinaire

Oh ! Oh ! Souvenirs, souvenirs des heures d’hier

Qui font vivre le cœur assoiffé d’un bel avenir.

Mignonne d’un certain temps, je suis encore

Au printemps de ma vie. Je suis encore fort

Il est évidemment trop tôt de penser à la mort.

Tu étais si pieuse, maintenant tu as perdu le nord

Tu n’existes plus pour moi. Tu es partie avec l’ombre

Tu vis ailleurs. Moi, j’suis fier d’être loin de tes pénombres.

Copyright © Octobre 2002, Hébert Logerie, Tous droits réservés

Hébert Logerie est l'auteur de plusieurs recueils de poésie.